Image

Pourquoi le Père Noël amène des cadeaux (aux enfants sages) pour Noël ?

Il est le seul papa qu'aucun enfant n'a jamais détesté ! Avec sa hotte remplie de cadeaux, le Père Noël fait plus d’heureux en une nuit que n’importe quel homme politique en toute une vie !
Qui dit Noël, dit cadeaux ! Certains étaient si attendus ou, à l’inverse, si inattendus que leur souvenir est encore vif des années après qu’on les a trouvés au pied du sapin. De mon côté, par exemple, il y en a deux qui sortent du lot : la Talbot Rancho télécommandée rutilante de Joustra et la machine à écrire La Petite grâce à laquelle je peux m’enorgueillir, quarante ans plus tard, d’être le type qui tape le plus vite au monde… avec deux doigts !

S’ils ont enchanté mon enfance, ces jouets feraient bien rire les mômes d’aujourd’hui, habitués qu’ils sont, dès leur plus jeune âge, à des technologies dont même Neil Armstrong ne profitait pas à bord d’Apollo XI. Mon fils serait sans doute au premier rang des moqueurs, lui qui, à chaque Noël et depuis plus d’une décennie, me fait cracher entre un quart et un demi SMIG à seule fin de satisfaire son appétit insatiable pour les consoles japonaises et les smartphones californiens.

Que celui qui n’a jamais pêché lui jette la première pierre. Et vous voulez que je vous dise : ce ne sera pas moi ! Car je me souviens très bien de ma condescendance quand mon grand-père, affligé par le nombre de paquets qui m’attendaient au pied de l’arbre, me racontait que, de son temps, les enfants s’estimaient gâtés quand ils recevaient une orange.
Image
J’y avais droit chaque année et, outre le fait que je trouvais la réflexion mesquine, j’avais du mal à la croire. Or, c’était vrai ! Avant-guerre, mis à part les rejetons de la grande bourgeoisie que l’on comblait de soldats de plomb et de poupées de porcelaine, les gamins ne recevaient que des confiseries, des biscuits et des fruits. Dont la fameuse orange ! Sauf que, comme mon papy s’est bien gardé de le préciser, cet agrume, parce qu'il était encore particulièrement rare, était alors une denrée de luxe. Pas autant que peut l’être aujourd’hui la pomme de Cupertino, mais pas loin !

UN SAINT POUR LES ENFANTS

Les générations passent, les modes changent, les budgets enflent, mais, au bout du compte, la tradition du cadeau demeure. Il faut dire qu’elle est sérieusement ancrée dans la culture occidentale, puisque cela fait plus de deux mille ans que l’on s’offre des présents pour les fêtes de fin d’année. Les Romains ont montré la voie. À l’occasion des Saturnales, cette célébration annuelle et orgiaque du solstice d’hiver (lire aussi Pourquoi célèbre-t-on la naissance de Jésus (et de mon frère) chaque 25 décembre ?), ils offraient quelques babioles à leur progéniture et échangeaient divers cadeaux avec leurs proches, dont des figurines en terre cuite que l’on déposait sur l’autel de Saturne pour attirer sa protection sur le foyer. Les premiers santons, en quelque sorte !

Au Moyen-âge, l’Église, jamais à court d’idées pour aliéner ses ouailles, a relancé la mode des cadeaux en confiant à Nicolas de Myre, l’un de ses saints les plus populaires du moment, la conduite d’une toute nouvelle fête enfantine : la Saint Nicolas ! Pourquoi lui ? Parce qu’une légende faisait de ce faiseur de miracles patenté, le sauveur de trois enfants perdus que Pierre Lenoir, un vilain boucher (passé à la postérité sous le doux nom de Père Fouettard), avait accueillis chez lui, trucidés et transformés en petit salé. D’un claquement de doigts, ce bon Nicolas reconstitua et ressuscita les trois lardons — c’est le cas de le dire ! — qui échappèrent ainsi au plat de lentilles qui les attendait. Voilà comment, en la sortant de la marmite, on devient le protecteur de la marmaille !
Image

Depuis mille ans, le rite est immuable. Dans la nuit du 5 au 6 décembre, l’ancien évêque de Myre (aujourd’hui Demre, en Turquie) sort de sa retraite, se coiffe de sa mitre, empoigne sa crosse, quitte le paradis et ses vertes prairies et visite une à une les maisons des enfants sages pour garnir de quelques menus plaisirs les souliers ou chaussettes qu’ils ont disposés devant la cheminée. Pour autant, si le nord et le centre de l’Europe restent fidèles au mythe, Saint Nicolas a quelque peu perdu de sa superbe au fil des siècles.

Il s’est d’abord fait tailler des croupières par l’Enfant Jésus. Cette figure de Noël, particulièrement populaire en Allemagne, est née avec la Réforme. Pour une raison toute bête : les protestants ne reconnaissant pas les saints, ils ont dû trouver un remplaçant à Nicolas. Et c’est ainsi que Jésus, pas bégueule pour deux sous, s’est retrouvé à faire la tournée des cadeaux à la veille de son anniversaire ! Finalement, trois siècles plus tard, un troisième larron va mettre tout le monde d’accord. Comme Saint Nicolas, il est barbu et vêtu de rouge. Comme l’Enfant Jésus, il vient la veille de Noël. Mais lui, à la différence des deux autres, n’est pas européen, pas plus que chrétien : il est laïc et américain !

UNE COPIE MIEUX QUE L'ORIGINAL

Comme vous l’aurez sans doute deviné, cet usurpateur yankee venu voler le pain (d’épices) de notre bon Nicolas comme Jeff Bezos le fait de celui de nos commerçants, n’est autre que Santa Claus, alias Père Noël. Et oui ! N’en déplaise à l’Office du tourisme de Finlande, l’idole des enfants et ses rennes (Fougueux, Danseur, Fringant, Rusé, Comète, Cupidon, Tonnerre et Éclair) ne viennent pas de Laponie, mais de Troy, petite commune de l’État de New York. Une incroyable histoire qui commence comme ça : Il était une fois The Troy Sentinel… 

Le 23 décembre 1823. cet obscur canard local publie un poème anonyme, intitulé A Visit from St. Nicholas. Attribués par les uns à Clement Clarke Moore, un universitaire, et par les autres au poète Henry Livingston Junior, ces vers racontent l’arrivée d’un Saint Nicolas très différent de la version catholique. Non seulement le bonhomme débarque dans la nuit précédent Noël, mais il se meut en traîneau, tiré par des rennes, se pose sur les toits et s’introduit chez les gens par la cheminée pour déposer non plus des confiseries, mais de véritables cadeaux. Quand à la mitre et à la crosse, elles ont cédé leur place à une houppelande et une hotte.

L’histoire rencontre un tel succès qu’elle est reprise les années suivantes dans tout le pays. Un quart de siècle plus tard, elle franchit l’Atlantique et, avec l’aide de Charles Dickens, elle s’installe au Royaume-Uni. Le continent européen, attaché à ses traditions chrétiennes, que ce soit Saint Nicolas ou l’Enfant Jésus, résiste un bon siècle avant que l’American Way of Life, popularisé par les GI venus libérer l’Europe du joug nazi, n’ait raison de ses vieilles croyances. Non sans réticences… Le 23 décembre 1951, Jacques Nourissat, un prête bourguignon, condamne ainsi l’hérétique au bûcher et fait brûler une effigie du Père Noël sur le parvis de la Cathédrale de Dijon.

Image

Fort heureusement, ce « pèrenoëlicide » est resté sans lendemain et le brave barbu qui, contrairement à ce que prétend une légende urbaine, n’a pas attendu les premières publicités de Coca Cola, en 1931, pour s’habiller de rouge, a pu poursuivre sa conquête du monde. Affranchi de toute connotation religieuse, célébré sur les cinq continents, il incarne à la perfection la fête des enfants et le consumérisme de notre civilisation puisque chaque Français dépense en moyenne 323 euros par an en cadeaux de Noël.

Voilà pourquoi le Père Noël est aujourd’hui l’icône incontestée des tout petits et le meilleur ami de Nintendo, Apple, Amazon et de tout un tas de multinationales. Et je ne sais pas vous, mais moi, de le savoir, ça ne change rien à ce que je pense de lui. Certes, à chaque fois que je le croise dans un centre commercial, je me dis qu'à cause du bonhomme, je vais vivre moins riche. Mais dans le même temps, je sais que grâce à lui, je vais mourir moins con (et le plus tard possible), puisque j'aurais le cœur rempli de paix et de tendresse pour les enfants en général, pour le mien en particulier. Et ça, voyez-vous, ça me ravit !

Illustrations :
1- Le Père Noël sur son traineau : Armadillo444 - Visual Hunt
2 - L'orange : Arbyreed - Visual Hunt
3 - Saint Nicolas : 0lliebrands0 - Pixabay
4 - Père Noël : Hue12 - Unsplash
Et puisqu'il se dit qu'en France, tout se termine par une chanson, je vous offre celle-là. Ainsi, comme le disait (à peu près) Bon Scott, le chanteur d'ACDC, Let there be Roch !
Image
Image
Pourquoi célèbre-t-on la naissance de Jésus (et de mon frère) chaque 25 décembre ?
Image
Pourquoi décore-t-on (de boules) un sapin à Noël ?
Image

À découvrir également...

Image
Pourquoi les enfants gribouillent (jusque sur les murs) ?
Image
Pourquoi le jeune marié porte sa moitié à l'heure de passer le seuil de leur domicile (ou de leur suite nuptiale) pour la première fois ?
Image
Pourquoi associe-t-on le jaune aux cocus (et les cornes par la même occasion) ?
Image
Pourquoi Bernard Hinault est surnommé le Blaireau (et Laura Flessel la Guêpe) ?
Image
Pourquoi vend-on les œufs (et les huîtres) à la douzaine ?
Image
Pourquoi la Terre est ronde (mais pas tout à fait) ?
Image
Pourquoi les Ferrari sont rouges (une fois sur deux) ?
Image

Pourquoi le Père Noël amène des cadeaux (aux enfants sages) pour Noël ?

Il est le seul papa qu'aucun enfant n'a jamais détesté ! Avec sa hotte remplie de cadeaux, le Père Noël fait plus d’heureux en une nuit que n’importe quel homme politique en toute une vie !
Qui dit Noël, dit cadeaux ! Certains étaient si attendus ou, à l’inverse, si inattendus que leur souvenir est encore vif des années après qu’on les a trouvés au pied du sapin. De mon côté, par exemple, il y en a deux qui sortent du lot : la Talbot Rancho télécommandée rutilante de Joustra et la machine à écrire La Petite grâce à laquelle je peux m’enorgueillir, quarante ans plus tard, d’être le type qui tape le plus vite au monde… avec deux doigts !

S’ils ont enchanté mon enfance, ces jouets feraient bien rire les mômes d’aujourd’hui, habitués qu’ils sont, dès leur plus jeune âge, à des technologies dont même Neil Armstrong ne profitait pas à bord d’Apollo XI. Mon fils serait sans doute au premier rang des moqueurs, lui qui, à chaque Noël et depuis plus d’une décennie, me fait cracher entre un quart et un demi SMIG à seule fin de satisfaire son appétit insatiable pour les consoles japonaises et les smartphones californiens.

Que celui qui n’a jamais pêché lui jette la première pierre. Et vous voulez que je vous dise : ce ne sera pas moi ! Car je me souviens très bien de ma condescendance quand mon grand-père, affligé par le nombre de paquets qui m’attendaient au pied de l’arbre, me racontait que, de son temps, les enfants s’estimaient gâtés quand ils recevaient une orange.
Image
J’y avais droit chaque année et, outre le fait que je trouvais la réflexion mesquine, j’avais du mal à la croire. Or, c’était vrai ! Avant-guerre, mis à part les rejetons de la grande bourgeoisie que l’on comblait de soldats de plomb et de poupées de porcelaine, les gamins ne recevaient que des confiseries, des biscuits et des fruits. Dont la fameuse orange ! Sauf que, comme mon papy s’est bien gardé de le préciser, cet agrume, parce qu'il était encore particulièrement rare, était alors une denrée de luxe. Pas autant que peut l’être aujourd’hui la pomme de Cupertino, mais pas loin !

UN SAINT POUR LES ENFANTS

Les générations passent, les modes changent, les budgets enflent, mais, au bout du compte, la tradition du cadeau demeure. Il faut dire qu’elle est sérieusement ancrée dans la culture occidentale, puisque cela fait plus de deux mille ans que l’on s’offre des présents pour les fêtes de fin d’année. Les Romains ont montré la voie. À l’occasion des Saturnales, cette célébration annuelle et orgiaque du solstice d’hiver (lire aussi Pourquoi célèbre-t-on la naissance de Jésus (et de mon frère) chaque 25 décembre ?), ils offraient quelques babioles à leur progéniture et échangeaient divers cadeaux avec leurs proches, dont des figurines en terre cuite que l’on déposait sur l’autel de Saturne pour attirer sa protection sur le foyer. Les premiers santons, en quelque sorte !

Au Moyen-âge, l’Église, jamais à court d’idées pour aliéner ses ouailles, a relancé la mode des cadeaux en confiant à Nicolas de Myre, l’un de ses saints les plus populaires du moment, la conduite d’une toute nouvelle fête enfantine : la Saint Nicolas ! Pourquoi lui ? Parce qu’une légende faisait de ce faiseur de miracles patenté, le sauveur de trois enfants perdus que Pierre Lenoir, un vilain boucher (passé à la postérité sous le doux nom de Père Fouettard), avait accueillis chez lui, trucidés et transformés en petit salé. D’un claquement de doigts, ce bon Nicolas reconstitua et ressuscita les trois lardons — c’est le cas de le dire ! — qui échappèrent ainsi au plat de lentilles qui les attendait. Voilà comment, en la sortant de la marmite, on devient le protecteur de la marmaille !

Image

Depuis mille ans, le rite est immuable. Dans la nuit du 5 au 6 décembre, l’ancien évêque de Myre (aujourd’hui Demre, en Turquie) sort de sa retraite, se coiffe de sa mitre, empoigne sa crosse, quitte le paradis et ses vertes prairies et visite une à une les maisons des enfants sages pour garnir de quelques menus plaisirs les souliers ou chaussettes qu’ils ont disposés devant la cheminée. Pour autant, si le nord et le centre de l’Europe restent fidèles au mythe, Saint Nicolas a quelque peu perdu de sa superbe au fil des siècles.

Il s’est d’abord fait tailler des croupières par l’Enfant Jésus. Cette figure de Noël, particulièrement populaire en Allemagne, est née avec la Réforme. Pour une raison toute bête : les protestants ne reconnaissant pas les saints, ils ont dû trouver un remplaçant à Nicolas. Et c’est ainsi que Jésus, pas bégueule pour deux sous, s’est retrouvé à faire la tournée des cadeaux à la veille de son anniversaire ! Finalement, trois siècles plus tard, un troisième larron va mettre tout le monde d’accord. Comme Saint Nicolas, il est barbu et vêtu de rouge. Comme l’Enfant Jésus, il vient la veille de Noël. Mais lui, à la différence des deux autres, n’est pas européen, pas plus que chrétien : il est laïc et américain !

UNE COPIE MIEUX
QUE L'ORIGINAL

Comme vous l’aurez sans doute deviné, cet usurpateur yankee venu voler le pain (d’épices) de notre bon Nicolas comme Jeff Bezos le fait de celui de nos commerçants, n’est autre que Santa Claus, alias Père Noël. Et oui ! N’en déplaise à l’Office du tourisme de Finlande, l’idole des enfants et ses rennes (Fougueux, Danseur, Fringant, Rusé, Comète, Cupidon, Tonnerre et Éclair) ne viennent pas de Laponie, mais de Troy, petite commune de l’État de New York. Une incroyable histoire qui commence comme ça : Il était une fois The Troy Sentinel… 

Le 23 décembre 1823. cet obscur canard local publie un poème anonyme, intitulé A Visit from St. Nicholas. Attribués par les uns à Clement Clarke Moore, un universitaire, et par les autres au poète Henry Livingston Junior, ces vers racontent l’arrivée d’un Saint Nicolas très différent de la version catholique. Non seulement le bonhomme débarque dans la nuit précédent Noël, mais il se meut en traîneau, tiré par des rennes, se pose sur les toits et s’introduit chez les gens par la cheminée pour déposer non plus des confiseries, mais de véritables cadeaux. Quand à la mitre et à la crosse, elles ont cédé leur place à une houppelande et une hotte.

L’histoire rencontre un tel succès qu’elle est reprise les années suivantes dans tout le pays. Un quart de siècle plus tard, elle franchit l’Atlantique et, avec l’aide de Charles Dickens, elle s’installe au Royaume-Uni. Le continent européen, attaché à ses traditions chrétiennes, que ce soit Saint Nicolas ou l’Enfant Jésus, résiste un bon siècle avant que l’American Way of Life, popularisé par les GI venus libérer l’Europe du joug nazi, n’ait raison de ses vieilles croyances. Non sans réticences… Le 23 décembre 1951, Jacques Nourissat, un prête bourguignon, condamne ainsi l’hérétique au bûcher et fait brûler une effigie du Père Noël sur le parvis de la Cathédrale de Dijon.

Image

Fort heureusement, ce « pèrenoëlicide » est resté sans lendemain et le brave barbu qui, contrairement à ce que prétend une légende urbaine, n’a pas attendu les premières publicités de Coca Cola, en 1931, pour s’habiller de rouge, a pu poursuivre sa conquête du monde. Affranchi de toute connotation religieuse, célébré sur les cinq continents, il incarne à la perfection la fête des enfants et le consumérisme de notre civilisation puisque chaque Français dépense en moyenne 323 euros par an en cadeaux de Noël.

Voilà pourquoi le Père Noël est aujourd’hui l’icône incontestée des tout petits et le meilleur ami de Nintendo, Apple, Amazon et de tout un tas de multinationales. Et je ne sais pas vous, mais moi, de le savoir, ça ne change rien à ce que je pense de lui. Certes, à chaque fois que je le croise dans un centre commercial, je me dis qu'à cause du bonhomme, je vais vivre moins riche. Mais dans le même temps, je sais que grâce à lui, je vais mourir moins con (et le plus tard possible), puisque j'aurais le cœur rempli de paix et de tendresse pour les enfants en général, pour le mien en particulier. Et ça, voyez-vous, ça me ravit !

Illustrations :
1- Le Père Noël sur son traineau : Armadillo444 - Visual Hunt
2 - L'orange : Arbyreed - Visual Hunt
3 - Saint Nicolas : 0lliebrands0 - Pixabay
4 - Père Noël : Hue12 - Unsplash
Et puisqu'il se dit qu'en France, tout se termine par une chanson, je vous offre celle-là. Ainsi, comme le disait (à peu près) Bon Scott, le chanteur d'ACDC, Let there be Roch !
Image
Image
Pourquoi célèbre-t-on la naissance de Jésus (et de mon frère) chaque 25 décembre ?
Image
Pourquoi décore-t-on (de boules) un sapin à Noël ?
Image

À découvrir également...

Image
Pourquoi les enfants gribouillent (jusque sur les murs) ?
Image
Pourquoi le jeune marié porte sa moitié à l'heure de passer le seuil de leur domicile (ou de leur suite nuptiale) pour la première fois ?
Image
Pourquoi associe-t-on le jaune aux cocus (et les cornes par la même occasion) ?
Image
Pourquoi Bernard Hinault est surnommé le Blaireau (et Laura Flessel la Guêpe) ?
Image
Pourquoi vend-on les œufs (et les huîtres) à la douzaine ?
Image
Pourquoi la Terre est ronde (mais pas tout à fait) ?
Image
Pourquoi les Ferrari sont rouges (une fois sur deux) ?